-
Par Estelloo dans L'Enfer de Tania Garyl le 14 Mai 2011 à 23:26...Oui, c'est ça. Elle était tétanisée. Qui ne le serait pas en apprenant que quelqu'un veut sa peau ? Sauf que, j'ai bien l'impression qu'elle connaît ce type, et qu'elle en a peur. Peut être est-ce à cause de lui que j'arrive à lire dans son regard bleu océan une grande tristesse....
-
Par Estelloo dans L'Enfer de Tania Garyl le 14 Mai 2011 à 23:21...vivais avant que ma triste solitude ne commence. Mon regard se pose sur un livre posé à côté de moi. J'aurai bien aimé continuer ma lecture mais la nuit étant tombée et ayant la flemme de me lever pour allumer la lumière, il est impossible pour moi de lire. Je me demande bien pourquoi j'ai...
-
Par Estelloo dans L'Enfer de Tania Garyl le 14 Mai 2011 à 23:19...plafond blanc et je dénombre au moins quatre fissures. Quelle activité passionnante ! Mais je crois bien, que je suis restée dans la même position depuis le départ de l'agent de police. C'est surprenant, je sais, surtout qu'on est en plein milieu de l'après-midi. J'entends les oiseaux chanter...
-
Par Estelloo dans L'Enfer de Tania Garyl le 14 Mai 2011 à 23:17...Ensuite, je me lève et j'avance d'un pas lent vers la salle de bain dans l'intention de prendre une bonne douche bien froide. Rien de mieux pour quelqu'un qui est dans les choux, - bien qu'il faut être complément fou pour laisser ne serait-ce une goûte d'eau glacée toucher sa peau et dans ce...
-
Par Estelloo dans L'Enfer de Tania Garyl le 14 Mai 2011 à 23:16...environs d'une heure du matin. Un vent froid s'abat sur mon visage, faisant voler mes longs cheveux bruns, bien attachés en queue de cheval et bien lisse, pour changer à d'habitude. Je m'emmitoufle un peu plus dans mon manteau et mon écharpe. Je remarque qu'il n'y a personne, pas un chat qui...
-
Par Estelloo dans Moi et seulement moi le 14 Mai 2011 à 23:10...pleins de boutons d'acnés ! Je suis redevenue une planche à pain ! Jamais je n'aurais été aussi heureuse de me voir. Si bien que j'arrive dans la cuisine en courant toute joyeuse. Ma mère était d'ailleurs, en me voyant ainsi. -Et bien dit donc, jamais je ne t'aurai vu aussi heureuse...